Mbagnick Diop : une icône du monde de l’entreprise en Afrique

Mbagnick Diop Président du Mouvement des entreprises du SénégalAvec son titre de Président du Mouvement des entreprises du Sénégal, Mbagnick Diop peut être considéré comme un homme d’influence en Afrique. Et même avec un illustre parcours professionnel et la place qu’il occupe aujourd’hui dans le business Africain, il reste néanmoins un homme impliqué dans la vie sociale de son pays. D’ailleurs, il s’engage à mettre son cœur à l’ouvrage pour aider au maximum la jeunesse. Ce qui fait de lui un véritable philanthrope. Dans cet article, nous vous présentons le parcours d’un homme Africain anticonformiste qui cherche avant tout à contribuer à la société.

 

Le Cauris d’Or, un événement qui reflète la personnalité de l’homme d’affaires

Chaque année, le mouvement des entreprises du Sénégal ou le MEDS organise une cérémonie sur l’entreprenariat et l’innovation. C’est un rendez-vous annuel pour l’Excellence, mais surtout un moment pour exprimer le génie et la clémence de Mbagnick Diop, la tête et le promoteur de cette fameuse soirée.

Les ambitions et le caractère de l’homme d’affaires Sénégalais se reflètent à travers cet événement qui mise sur la valeur du succès et de l’humanitaire. Ce rendez-vous annuel est aussi l’occasion pour plusieurs entreprises, associations et personnalités d’offrir un soutien aux nombreux jeunes atteint de l’autisme au Sénégal. Ces jeunes malades méritant aussi d’avoir droit à l’éducation ainsi qu’aux même bénéfices que les enfants normaux. Ce qui est un mouvement important dans un pays où les enfants atteints de l’autisme sont souvent considérés comme des « enfants de la honte ».

Les valeurs de l’événement ne restent pas constantes mais s’améliorent de plus en plus. Et c’est toujours avec une grande émotion que chaque année la remise de trophée se fait. La fête ayant maintenant un ancrage social en outre de célébrer les mérites d’un entrepreneur. D’autant plus que les apports de jeunes talents peuvent les conduire à de grand succès grâce à ce rendez-vous.

En bref, le Cauris d’Or reflète exactement les traits de caractère de Mbagnick Diop. Un événement qui vise à récompenser les méritants en entreprenariat, mais aussi pour la réalisation d’œuvre sociale. Un événement qui s’importe de nouvelles perspectives et qui cherche toujours un concept novateur chaque année.

Grâce à ses efforts et sa volonté d’aider les gens, Mbagnick Diop a reçu plusieurs prix nationaux et internationaux dont on cite le  prix Nelson Mandela du meilleur entrepreneur. En plus, il est élu homme de l’année 2017.

Mbagnick Diop et ses concepts novateurs

Homme de réseau et d’influence, Mbagnick Diop a beaucoup investit dans le secteur de la communication et de l’événementiel. Les actions de communication entreprises par cet homme d’affaire sont toujours axées sur le développement du Sénégal. Notamment, il contribue au débat économique national au Sénégal à travers le mouvement MDES.

Mbagnick Diop organise chaque année, sous le sceau du MDES, de nombreux événements tels que le Forum du 1er emploi et le Cauris d’or.

Le Forum du 1er emploi rassemble de jeunes sénégalais en quête d’un premier emploi. Il contribue donc au combat contre le chômage dans le pays.

 

Comment choisir son meuble TV ?

Meuble TV design style contemporain en métal

Toute maison, du mois en France, possède au moins un téléviseur, habituellement positionné dans un salon, dans une chambre, une pièce prévue à cet effet, voire une cuisine. En tant qu’élément central d’une maison, pour réunir la famille sur le canapé dans le salon notamment, votre téléviseur à écran plat (abandonnez vite votre télévision cathodique si vous en possédez une !), nécessite d’être mis en valeur. C’est pourquoi, il est indispensable de disposer d’un joli meuble TV, esthétique, design et pratique, sur lequel poser votre téléviseur. De même, si votre téléviseur est accroché au mur, un meuble TV demeure nécessaire, ne serait-ce que pour habiller cet espace de votre maison et lui offrir des rangements supplémentaires dédiés au HiFi, multimédia… Voici donc quelques conseils déco pour bien choisir votre meuble TV.

Choisissez un bon angle de vue pour une meilleure posture

Il n’y a rien de pire que de devoir pencher le cou ou pivoter la tête pour regarder la télévision. Ce n’est ni bon pour le dos, ni pour les cervicales, d’autant plus que vous n’aurez pas une expérience agréable. Or, ce qu’on cherche quand on s’asseoit dans un canapé pour regarder un film, une émission ou une série, c’est vivre la meilleure expérience possible. Il est donc important que l’écran de votre téléviseur soit placé à la hauteur des yeux et que vous puissiez laisser, a minima, une distance de 3m entre vous et le poste de télévision. Vous pouvez, soit mesurer la taille que devra faire votre meuble TV afin que votre téléviseur soit placé à la hauteur de vos yeux (plus ou moins), soit acheter un meuble de télévision dont les pieds sont réglables sen hauteur.

Adaptez la taille de votre téléviseur à la largeur du meuble

Généralement, il est recommandé d’avoir un meuble TV plus large que la taille de l’écran, ce dernier étant mesuré en nombre de pouces tandis que votre meuble sera mesuré en centimètres. Faites attention à ne pas vous tromper dans les mesures ! Si votre intérieur vous donne la possibilité de faire l’acquisition d’un téléviseur grand format, assurez-vous que le support que vous choisirez n’est pas trop petit ou qu’il peut supporter le poids de votre téléviseur, ce dernier ayant généralement une base nécessaire à la répartition globale de la charge.

Choisissez votre meuble en fonction de l’aménagement de votre pièce

Ce n’est pas parce que l’aménagement de votre salon est biscornu ou que votre pièce est exiguë que vous devez renoncer à avoir un téléviseur aux dimensions que vous souhaitez. Choisissez par exemple un meuble de télévision pivotant qui vous permettra de trouver l’angle de vue optimale si votre canapé et votre télévisuer ne sont pas géométriquement alignés mais sont disposés en diagonale l’un par rapport à l’autre. Dans un tel cas, c’est le meuble TV qui doit s’adapter et non votre canapé qui doit se mettre en travers de la pièce… Choisissez donc un meuble d’angle, ce qui vous permettra judicieusement de choisir un poste de télévision plus large que la normale, malgré le peu d’espace que vous aurez. Au contraire, un meuble TV mural libère de l’espace sur votre meuble pour vous offrir une plus grande capacité de rangement, que ce soit pour des objets de décoration design (bougies, cadres, vases…) ou d’autres autres objets du quotidien.

Choisissez un meuble TV en accord avec le style de votre intérieur

Prenez en considération la décoration de votre intérieur avant de choisir votre meuble TV. Ne choisissez pas un meuble de télévision aux couleurs foncées si le reste de votre déco est dans des tons neutres, pastels ou ternes. Dans un loft, privilégiez un meuble TV de style industriel. Dans une maison décorée aux accents ethniques, privilégiez un meuble en bois exotique pour harmoniser l’ensemble. Vous disposez d’un intérieur au style moderne, épuré ? Craquez pour un meuble TV contemporain ! Chez Kare, vous pourrez trouver des meubles de télévision de différents styles : scandinave, vintage, industriel, ethnique, classique… Du mobilier 100% design !

Choisissez également le bon matériau pour votre meuble : en bois, en verre, en métal… Pour une meilleure longévité, nous vous recommandons les meubles en bois ou en métal. Si vous avez des enfants, le bois est fortement conseillé.

Le choix du style de votre meuble TV est une affaire de goût personnel. Faites en sorte qu’il s’adapte bien à l’ambiance générale de votre pièce. Bref, évitez les fautes de goût en ne mariant pas judicieusement les couleurs, les matériaux…

Comment conserver ses aliments

nourritureLa conservation des aliments est un réel enjeu dans la lutte contre le gaspillage alimentaire. Mais ça l’est aussi pour vos porte monnaie! Combien de fois avez- vous racheté des fruits que vous avez laissé pourrir? Combien de fois avez- vous jeté un aliment entamé mais pas fini?

Je vous rappelle que chaque ménage jette en moyenne 20 kg de nourriture par an (7 kg encore emballée!). Ce n’est pas rien et c’est peut- être dû à un manque d’informations.
Je vais vous donner 10 petits trucs pour réduire un peu ce gaspillage énorme.

Conserver les aliments plus longtemps

C’est parti!
Conservation des pommes de terre

Elles se rangent dans un endroit sombre, ce qui évite qu’elles ne germent. Mon grand- père les entreposait dans une cave et mettait deux pommes dans chaque cagette.
Carottes et poivrons tout mous

Les légumes qui ramollissent ne donnent plus vraiment envie, n’est- ce pas? Pour leur permettre de retrouver leur croquant et aussi l’espoir de se faire croquer, coupez- les, lavez- les et mettez- les à tremper au frigo dans de l’eau.
Salade flétrie

Il est très facile de redonner vie à une salade qui fait un peu la tronche… Tremper la entièrement, pendant au moins 45 minutes, dans une bassine d’eau sucrée (plongez- y simplement un morceau de sucre).
Champignons

Les champignons frais se perdent vite… à mon grand regret. Mais j’ai trouvé la solution pour les conserver plus longtemps. Il suffit de les garder enveloppés dans du papier journal.
Tomates

Cette astuce consiste simplement à les congeler. Mais pas entière… Il vous faut tout d’abord les peler et les couper en dés. Avez- vous déjà essayé de peler une tomate fraîche, sans aucune préparation? Une vraie galère! Pour les peler très facilement, plongez-les une minute dans de l’eau bouillante. Vous verrez, c’est beaucoup plus facile comme ça! ??
Pêches, poires et pommes

Vous n’avez pas fini votre fruit? Vous préférez peut- être en garder la moitié pour le goûter? Alors arrosez le de jus de citron. En effet, le jus de citron empêche l’oxydation dans l’air. Fini les morceaux de fruits tout marron!
Pain dur

A défaut d’avoir des poules ou des canards près de chez soi, le pain dur peut retrouver son croustillant et nourrir la famille. Humidifiez un peu le morceau de pain et mettez- le au four. Sinon vous pouvez parfaitement accomoder les restes en préparant du délicieux pain perdu! Un peu de lait, un oeuf, du sucre ou de la cassonade et à la poêle… hummmmm!
Citron

Je conserve souvent une moitié de citron dans la porte du frigo. Reste d’une préparation de cocktail de la veille… ?? Le problème est qu’il flétri assez vite et perd son jus.

Si vous n’avez besoin que de quelques gouttes il vous suffit de percer un petit trou dans l’écorce et de presser. Pour le rebouchage du trou, un cure dent sera parfait!
Crème fraîche

De la crème fraîche qui commence à jaunir? Beurk… C’est que le pot n’est pas bien hermétique ou que la date de péremption (DLC) est bien dépassée… Transférez votre crème fraîche, après une première utilisation, dans un récipient bien hermétique et laissez au frigo. Elle peut ainsi se conserver un mois entier!

Vous avez compris que pour conserver correctement les aliments, rien ne vaut de bons petits trucs de grands mères. Pour en savoir plus sur la conservation des aliments au frigo ou le gaspillage alimentaire je vous invite à lire ou à relire ces deux articles: Gaspillage alimentaire: les bons gestes anti- gaspi et Gaspillage alimentaire et conservation des aliments

Avez- vous d’autres petites astuces à nous confier? Quelques secrets bien gardés?

Le rôle des nouvelles technologies sur le patrimoine

numerique-patrimoineOn associe de plus en plus les vieilles pierres aux nouvelles technologies. Des études, des colloques, des expériences montrent les effets que les nouvelles technologies engendrent sur le patrimoine. Grâce à des procédés d’une modernité extrême, on découvre des pans entiers de notre patrimoine qui avaient disparu, on le restitue dans son contexte historique, on le perçoit mieux, on se le réapproprie.
Des monuments révèlent des choses insoupçonnées jusqu’alors grâce à l’utilisation de nouvelles techniques, les images de synthèse établissent un diagnostic précis de l’état d’un édifice avant sa restauration. Les cédéroms permettent de reconstituer l’ensemble d’un monument ou d’un vestige, faisant apparaître des pans disparus et révélant la démarche et les motivations du créateur de l’époque. La numérisation des archives préserve à l’infini le contenu du document et le rend consultable à tout moment, aussi bien par le chercheur que le grand public. Ainsi les nouvelles technologies permettent de protéger le patrimoine, de le valoriser mais aussi d’accroître les connaissances sur le sujet, que l’on soit scientifique ou citoyen lambda.
Nous avons privilégié trois axes pour analyser le rôle que les nouvelles technologies jouent sur le patrimoine : la protection, la valorisation et la diffusion du patrimoine. Si les nouvelles technologies permettent sans aucun doute d’élargir et d’affiner notre regard sur le patrimoine, elles posent aussi des questions d’ordre déontologique.

Les nouvelles technologies sont un moyen de protéger le patrimoine

Leurs effets sont mesurables aussi bien dans la conservation des archives que dans la restauration des édifices.

La conservation des archives

Comment conserver à long terme des documents dont certains sont menacés, fragilisés ou même détériorés physiquement ? Par la numérisation qui permet de préserver à l’infini le contenu du document. A chaque fois, on change le support, seul le contenu importe. Pourtant ce procédé ne va pas sans difficulté. Certains estiment qu’il faut conserver le document ancien, d’autres pensent à l’inverse qu’il faut sans cesse convertir les documents anciens vers les nouveaux formats. D’autres encore affirment qu’il faut améliorer les logiciels afin de pouvoir lire les anciens formats sur du matériel nouveau.
Finalement la difficulté est liée à la constante évolution de la technologie qui rend obsolètes les supports. Les premiers cédéroms des années 80 sont difficiles à lire, illustrant finalement la fragilité des supports liés aux nouvelles technologies. Les grandes institutions telles que le Louvre, la Bibliothèque nationale de France (BnF), l’Institut national de l’audiovisuel (INA) ou la Réunion des musées nationaux (RMN) enregistrent tous les documents sur cassette numérique. Mais la BnF fait en plus des copies sur des disques en verre trempé gravé dont la durée de vie est estimée à 100 ans. A l’INA, les opérations de sauvegarde jouent un rôle important. On s’efforce de transférer l’image ou le son d’un support physique dégradé sur un support neuf pour en pérenniser la conservation. Quand le support est trop dégradé, on numérise l’image directement.
En fait l’archivage numérique est indispensable car certains documents se périment mais la qualité est moindre. L’autre problème qui se pose réside dans le choix des documents numérisés. A chaque vague de numérisation, de nombreux documents sont rejetés car ils sont jugés secondaires. Or comment déterminer aujourd’hui ce qui peut constituer demain du patrimoine ? C’est à cette question que les conservateurs et les archéologues sont de plus en plus confrontés.

La restauration du patrimoine

Grâce aux nouvelles technologies, on peut mesurer précisément les dimensions d’un édifice, mieux appréhender ses contours. L’image numérique permet de déceler les altérations d’une œuvre et d’établir ainsi un diagnostic d’état pour préparer éventuellement les interventions du restaurateur.
Récemment, à partir d’images numériques, les chercheurs de l’École nationale supérieure des télécommunications ont établi un protocole de recherche pour préciser l’état de l’œuvre avant son départ et à son retour. Ce système est contraignant car les prises de vue doivent s’effectuer au millimètre près. Mais la caméra infrarouge permet d’accéder à des choses insoupçonnées. Un tableau de Corot a ainsi révélé des dessins sous-jacents, on est ici au carrefour de la connaissance et de la restauration. Les nouvelles technologies permettent de découvrir des pans inconnus d’une œuvre et notamment de mieux appréhender sa maturation.
Sur un autre registre, la maquette de synthèse propose une nouvelle interprétation de l’édifice, sans doute plus globale et qui aide à sa compréhension. Le modèle interactif intègre toutes les subtilités et toutes les déficiences de l’édifice, révélant ainsi l’ensemble des connaissances. A partir de ce constat, les travaux de restauration peuvent se dérouler. Par exemple, après les travaux, les modifications sont greffées sur la maquette sans que soit effacé l’état originel, et informent sur l’histoire récente de l’édifice. Des études de poussées et de charges sont simulées et les déformations enregistrées. La maquette de synthèse est aussi particulièrement adaptée lorsqu’il s’agit de montrer des objets fragiles ou menacés et des sites inaccessibles, comme les grottes sous-marines par exemple.
Les chercheurs utilisent enfin le relevé d’architecture qui procède de l’objet bâti et non de l’idée architecturale que l’on s’en fait. Les scientifiques ne s’appuient plus sur des shémas mentaux. Avec l’introduction des techniques du relevé dans l’univers de l’informatique, ils appréhendent mieux la forme effective du bâtiment.
Ces techniques qui constituent un apport révolutionnaire dans le domaine de la restauration participent aussi à la valorisation du patrimoine.

Les nouvelles technologies offrent des outils pour valoriser le patrimoine

Lorsqu’on évoque la valorisation du patrimoine, on pense aux nouvelles découvertes opérées sur des monuments, des sites ou des tableaux mais aussi aux reconstitutions virtuelles d’édifices disparus.

Le cas des visites virtuel

Cette expression correspond à une réalité qui s’est développée au cours de ces dernières années. Premier aspect : le cédérom. Sa grande force n’est pas d’offrir une visite « comme si vous y étiez » mais plutôt de montrer « mieux que si vous y étiez ». Si l’élément tactile est irremplaçable, la connaissance, elle, peut s’améliorer. La présentation de l’édifice, le style de l’écriture et la restitution du contexte historique dans lequel l’œuvre a été créée peuvent informer davantage le public qu’une simple visite physique. En valorisant le patrimoine, les nouvelles technologies relèvent le défi de la connaissance et de la cohérence. La difficulté réside dans le fait de trouver l’équilibre pour être à la fois pédagogique et ludique. La collaboration des conservateurs et des scénaristes est à ce titre fondamentale. Le cédérom consacré au Centre Pompidou renvoie à l’œuvre originale mais il va plus loin, étant lui-même une véritable œuvre d’art.
L’autre élément qui contribue à enrichir notre patrimoine, c’est la construction d’un site à l’identique. Lascaux 2 par exemple a été mis en place pour protéger les peintures de la grotte qui s’abîmaient sous l’effet du gaz carbonique provoqué par l’afflux des visiteurs. Cette réplique permet aux visiteurs de continuer à visiter la grotte tout en protégeant l’originale, désormais fermée au public. La valorisation du patrimoine existe mais elle n’est pas déterminante.
Prenons l’exemple de la grotte de Niaux dans l’Ariège. Dans ce cas, le fac-similé valorise complètement le patrimoine. L’originale reste ouverte. La réplique n’est là que pour améliorer la connaissance. Pour preuve : la restitution des peintures avec leurs détails innombrables et cachés grâce au procédé de la photographie à la lumière ultraviolette. Dans ce cas, la restauration effectuée équivaut à une vraie valorisation. Le public peut voir des peintures plus proches de la réalité préhistorique que les originaux eux-mêmes.

L’apport des nouvelles découvertes scientifiques

On vient de le constater, une restauration débouche souvent sur une valorisation. C’est pourquoi la limite est souvent ténue entre les deux. Les procédés que l’on a énumérés dans le paragraphe consacré à la restauration jouent un rôle essentiel dans la valorisation d’un site, d’un édifice ou d’une peinture.
La caméra infrarouge révèle des esquisses sur un tableau. La Marietta de Corot, l’un des plus beaux nus de l’histoire de la peinture, a révélé un dessin sous-jacent. La caméra infrarouge a donc permis la découverte d’une nouvelle œuvre qui nous renseigne sur le travail préparatoire et les dispositions intellectuelles du peintre à l’époque. Le Louvre abrite de nombreux dessins préparatoires effectués par Corot. On peut ainsi apprécier la maturation et l’évolution intellectuelle de l’artiste.
Grâce aux images de synthèses, on peut aussi reconstituer les pans disparus d’un édifice. La restitution en images de synthèse de la Tholos de Delphes est à cet égard très intéressante. Les images ont permis d’enrichir le volume architectural en lui redonnant son ornementation sculptée et sa décoration. C’est le même cas de figure avec la réplique de la grotte de Niaux. La restitution en relief a permis de retrouver le contexte de la caverne, de percevoir les choix de l’époque. Les images ne sont pas le fruit du hasard mais d’un calcul scientifique du volume des salles. Un problème déontologique se pose alors : ce travail nécessite une collaboration totale entre l’archéologue ou le restaurateur et l’informaticien ou le scénariste. La réalité scientifique ne doit pas s’évaporer sous les coups de la virtualité.
Ainsi ces procédés ultramodernes permettent, s’ils sont utilisés à bon escient, d’enrichir le patrimoine, mais aussi notre connaissance. Les nouvelles technologies sont en effet un vecteur extraordinaire pour diffuser le patrimoine.

Les nouvelles technologies facilitent la diffusion du patrimoine

Grâce aux nouvelles technologies, le chercheur fait de nouvelles découvertes, valide plusieurs hypothèses et précise ses conclusions. Mais surtout, ces recherches sont consultables instantanément aussi bien par le scientifique que le simple citoyen. Leur communication est immédiate et planétaire. Un chercheur américain communique à son confrère français ses travaux par fichiers numérisés et inversement. Un étudiant sénégalais accède au Louvre sans se déplacer. La Joconde est vue, observée et analysée aux quatre coins du monde.
Un second aspect, plus récent, participe à la diffusion du patrimoine. Il s’agit des centres multimédia dont certains s’apparentent à de véritables cybercentres. Le plus significatif est celui abrité par l’abbaye de Fontevraud.

Parmi les chercheurs mais aussi vers le grand public

Les nouvelles technologies bouleversent la recherche par les nouveaux instruments qu’elles mettent à disposition des chercheurs. L’image numérique modifie la relation du scientifique au document image. La possibilité d’agrandir les images avec une très bonne définition et une très grande liberté facilite la lecture du document et donc son interprétation. Cet élément conjugué avec l’intérêt du stockage donne aux travaux des scientifiques plus de flexibilité. Chacun peut consulter instantanément les hypothèses de travail du confrère. L’émulation est totale. Les conclusions des uns et des autres peuvent être regroupées dans un corpus numérique susceptible de s’enrichir à tout moment. Les maquettes de synthèses qui restituent tel ou tel édifice évoluent en temps réel. L’un découvre une voûte, l’autre la crypte et c’est tout l’édifice qui se transforme, presque sous nos yeux.
Car le public est étroitement associé à ces recherches et à ces découvertes. Même s’il n’a pas accès à certains documents qui sont réservés à des professionnels (comme c’est le cas à l’INA par exemple), le citoyen peut consulter la plupart des documents et archives regroupées dans de gigantesques bases de données. Les médiathèques, les photothèques s’inscrivent le plus souvent au sein des bibliothèques. A la BnF, au centre Pompidou, le public accède à des images, des sons et des écrits qui ont été numérisés. On peut consulter les cédéroms consacrés à des édifices, des musées ou des vestiges. Des vestiges français, mais aussi étrangers. Le Louvre ou Louxor depuis Pompidou, c’est possible. De véritables bibliothèques numériques sont en train de se développer.
Ce mouvement s’opère par l’intermédiaire des musées, des bibliothèques ou même des monuments traditionnels. Certains d’entre eux, à forte valeur symbolique, deviennent même des centres de recherche alliant l’étude du patrimoine et des nouvelles technologies.

La création d’un cybercentre patrimonial : le cas de Fontevraud

L’abbaye royale de Fontevraud, qui constitue l’ensemble monastique le plus important d’Europe, a fêté au mois d’octobre ses 900 ans d’existence. Plusieurs manifestations sont organisées. Un colloque intitulé « Le virtuel et la pierre » a lieu les 25, 26 et 27 octobre. Il s’agit de réfléchir aux relations qui existent entre le patrimoine et le multimédia. Comment les nouvelles technologies peuvent-elles permettre de reconstituer virtuellement des édifices en partie disparus? Comment peuvent-elles transformer l’image d’un site?
Mais ce colloque symbolise en fait le lancement de plusieurs manifestations autour des relations entre le patrimoine et le multimédia qui se dérouleront tout au long de l’année. Des classes de patrimoine seront accueillies régulièrement. Un parcours virtuel mettant en valeur certaines parties de l’édifice sera organisé. La projection d’un film en images de synthèse est prévue sur l’un des murs du couvent du Grand Moûtier. Enfin, l’abbaye va être un lieu de résidence à la fois pour les artistes et les historiens qui pourront confronter leurs points de vue, leurs hypothèses et éventuellement tirer un certain nombre de conclusions.
L’idée est de faire de Fontevraud un véritable cybercentre qui soit un site de référence en matière de recherche, de création et de formation dans les domaines de la conservation patrimoniale et de la création multimédia. A terme, l’abbaye pourrait se transformer en une sorte de Villa Médicis du numérique et être ainsi un centre européen de création et de formation.
En transformant un monument à forte valeur patrimoniale en centre multimédia, on facilite sa protection et sa valorisation, mais surtout on élargit sa diffusion. Un nouveau public va s’intéresser à l’édifice en raison des connexions que les nouvelles technologies peuvent créer avec d’autres disciplines : l’art, l’histoire ou la science.

Les effets positifs que les nouvelles technologies engendrent sur le patrimoine sont certains. Des dangers et des difficultés existent néanmoins. Le rôle des conservateurs, des scientifiques, des artistes et des informaticiens est à ce titre primordial. La présentation du patrimoine ne doit pas s’effectuer au détriment de l’exactitude historique.
D’une manière plus globale, il faut aussi s’interroger sur le risque de devenir amnésique en raison de notre foi numérique. Car plus la technique est sophistiquée, plus la communication est immédiate, intense et planétaire et plus elle risque d’être éphémère, à moins d’être classée immédiatement « historique ». Or seulement 10% des archives sont numérisées, le reste est rejeté, donc le risque de voir notre mémoire éparpillée et finalement atomisée est bien réel.

Pierre Emmanuel Barré

pierre-emmanuel-barreL’humoriste Pierre Emmanuel Barré présente actuellement sur France Inter ses chroniques « On va tous y passer » en compagnie de Nagui et d’autres journalistes. Il y malmène toute la classe politique, Sarko, Fillon, Juppé, Le Pen, mais aussi les noires, les juifs, les arabes, les asiatiques, les femmes, les handicapés… Bref tout le monde y passe dans ses chroniques, même ses supérieurs comme Nagui ou Ali Badou sur canal+. Il tient également un spectacle « Pierre Emmanuel barré est un sale con » où il y fait passer l’intéralité de ce qui peut être sujet à l’humour, même le plus douteux. Il réalise également des vidéos Youtube « La vie racontés au fils de putes » où son humour est toujours noire mais plus proche du 18e degré des Deschiens que celui de ses chroniques. C’est un amateur de coquillage né en Bretagne, qui est également engagé contre l’islamophobie en France. Après avoir suivi des cours de biologie à rennes, il s’oriente vers le théâtre avec le cours Florent, ce qui le lancera dans sa vie d’artiste et d’humoriste de plus en plus reconnu/  Retrouvez toutes ses chroniques ici : http://p-e-b.fr

Comment déboucher un évier sans faire appel à un plombier

plombierDans cet article je vous explique comment déboucher votre évier sans faire appel à un plombier et naturellement. Vous allez pouvoir jouer les Mario, et tout ça pour presque rien !

Je dois vous avouer que je n’y connais absolument rien en plomberie. Mes connaissances sont proches de 0 (comme la plupart d’entre vous je pense).

Alors, lorsque j’ai connu mon premier problème d’évier bouché ça n’a pas été simple. Parce qu’il y a bouchon et BOUCHON.
réparer sa plomberie

l’incontournable ventouse

C’est vrai que certains petits soucis paraissent insurmontables au premiers abords. Surtout quand les produits déboucheurs ne fonctionnent que moyennement. Il m’est arrivé de ne pas réussir à résorber un bouchon avec un déboucheur chimique. Pour ma part je les évite autant que possible.

D’abord parce qu’ils sont très chers et aussi à cause de leur nocivité sur l’environnement.

Il est alors tentant de faire appel à un plombier.

Mais gare au déplacement et au coût de main d’oeuvre.

Alors qu’il suffit souvent de pas grand chose pour réparer tout ça… Je vous explique et vous présente l’outil miracle !
Déboucher un évier ou un lavabo facilement

Le tout premier réflexe que vous devez avoir lorsque vous faites face à un bouchon c’est:

la ventouse

C’est un outil incontournable qui règlera votre problème dans la plupart des cas. Mais pas toujours.

Il arrive effectivement que la ventouse ne suffise pas.

Alors comment déboucher un évier quand la ventouse et les produits ne fonctionnent pas ?

Vous devez vous équiper d’un autre outil, encore plus miraculeux !

Mais d’abord il faut vérifier votre installation. Ne vous inquiétez pas cela ne prend que 10 secondes.
Canalisation droite ou courbée ?

Dans le cas d’une canalisation droite vous n’aurez pas d’autres choix que de démonter le siphon.

Procédez comme ceci:

Placez une bassine sous le siphon.

Dévissez le siphon. L’eau s’écoulera dans votre bassine.

Nettoyez le bien et retirez les impuretés présentes.

Si votre installation est courbée c’est encore plus simple. Pas besoin de démonter quoi que ce soit.
Le furet, l’outil miracle du plombier amateur

Ce “petit” outil va vous permettre de déboucher facilement vos canalisations sans effort et sans avoir à bricoler.
déboucher avec un furet

Le furet, l’outil du plombier !

C’est simple. Un long câble métallique, un foret ou une brosse à l’extrémité, et une manivelle.

C’est l’outil miracle du plombier.

Il est vraiment économique (moins de 5 €). Rien de comparable avec l’intervention d’un professionnel…

Notez que si ce sont vos WC qui sont bouchés, la ventouse et le furet seront également vos meilleurs alliés. Bien qu’il soit possible d’utiliser une bouteille en plastique ou un cintre métallique en remplacement, je vous conseille vraiment d’investir dans ces deux outils.

Avec ça, fini les bouchons. ??

Avez- vous déjà utilisé un furet ou une ventouse ? Ou faites- vous appel à un plombier ? Dites moi ça dans les commentaires !

Le cloître à travers les siècles

cloitre fontevraudSitué à l’intérieur du monastère et souvent contigu à l’église, le cloître occupe une position stratégique. Cet espace consacré à la méditation dessert par sa galerie circulaire toutes les parties essentielles du monastère : le Parloir, la Salle capitulaire, la Sacristie, mais aussi le réfectoire. Si le cloître reste l’élément central autour duquel les autres bâtiments s’organisent, son architecture évolue progressivement.

L’élément vital

Il est le noyau, l’élément central du monastère (voir le plan de la Grande Chartreuse). Les moines circulent dans cet espace réservé à la méditation et d’ailleurs interdit aux profanes. Des bâtiments aux fonctions essentielles sont souvent disposés à côté ou même collés à lui.
L’espace, généralement carré, est aménagé en jardin et bordé dune galerie couverte qui dessert chaque pièce. Cette configuration rappelle le plan dune maison romaine qui groupe ses pièces autour d’un atrium. Tout contre l’église, au sud, le cloître du Grand-Moûtier, au sein de l’abbaye de Fontevraud, dans le Maine-et-Loire, est le lieu de convergence. Sa position centrale conditionne le positionnement et distribue les autres bâtiments. De forme globalement carrée, il est aménagé en jardin et bordé dune galerie couverte réservée au déplacement des moines. Sa forme, dérivée de celle de l’atrium des maisons romaines, dirige l’attention vers le centre.

Le Grand-Moûtier

Le cloître est mis au service des moines. La figure fermée du carré dirige la façade des bâtiments et les regards vers un centre intérieur. Il n’y a pas de façade ouverte vers l’extérieur. Le cloître exprime donc parfaitement l’état de ses habitants qui s’écartent du monde et se tournent vers Dieu. La seule ouverture de cet espace libère le regard vers le ciel. Le lieu devient ainsi propre à une méditation silencieuse.

Moissac

Lieu de méditation silencieuse, lieu de passage, le cloître est aussi lieu de prières collectives et de liturgie. A l’origine, les moines se réunissent parfois dans la galerie nord, après le repas du soir pour écouter une lecture sainte, les Collations, et réciter l’office de complies. Pour cette raison, la galerie fut souvent appelée  » galerie de collation « , comme on peut le voir dans le cloître de l’abbaye de Moissac, dans le Tarn-et-Garonne. Si tous les bâtiments continuent à se positionner autour du cloître, son architecture évolue à travers les siècles.Situé à l’intérieur du monastère et souvent contigu à l’église, le cloître occupe une position stratégique. Cet espace consacré à la méditation dessert par sa galerie circulaire toutes les parties essentielles du monastère : le Parloir, la Salle capitulaire, la Sacristie, mais aussi le réfectoire. Si le cloître reste l’élément central autour duquel les autres bâtiments s’organisent, son architecture évolue progressivement.

L’élément vital

Il est le noyau, l’élément central du monastère (voir le plan de la Grande Chartreuse). Les moines circulent dans cet espace réservé à la méditation et d’ailleurs interdit aux profanes. Des bâtiments aux fonctions essentielles sont souvent disposés à côté ou même collés à lui.
L’espace, généralement carré, est aménagé en jardin et bordé dune galerie couverte qui dessert chaque pièce. Cette configuration rappelle le plan dune maison romaine qui groupe ses pièces autour d’un atrium. Tout contre l’église, au sud, le cloître du Grand-Moûtier, au sein de l’abbaye de Fontevraud, dans le Maine-et-Loire, est le lieu de convergence. Sa position centrale conditionne le positionnement et distribue les autres bâtiments. De forme globalement carrée, il est aménagé en jardin et bordé dune galerie couverte réservée au déplacement des moines. Sa forme, dérivée de celle de l’atrium des maisons romaines, dirige l’attention vers le centre.

Le Grand-Moûtier

Le cloître est mis au service des moines. La figure fermée du carré dirige la façade des bâtiments et les regards vers un centre intérieur. Il n’y a pas de façade ouverte vers l’extérieur. Le cloître exprime donc parfaitement l’état de ses habitants qui s’écartent du monde et se tournent vers Dieu. La seule ouverture de cet espace libère le regard vers le ciel. Le lieu devient ainsi propre à une méditation silencieuse.

Moissac

Lieu de méditation silencieuse, lieu de passage, le cloître est aussi lieu de prières collectives et de liturgie. A l’origine, les moines se réunissent parfois dans la galerie nord, après le repas du soir pour écouter une lecture sainte, les Collations, et réciter l’office de complies

Une architecture qui évolue

Dans le cas le plus simple, l’allée ou galerie est abritée par une couverture posée sur une charpente apparente qui à son tour repose sur des arcades. La construction est légère et aérée. A la fin du XIe siècle, les chapiteaux des colonnettes sont devenus un terrain de choix pour développer la sculpture et les thèmes iconographiques, comme à Moissac. Il fait partie des premiers cloîtres simplement couverts dune charpente. Les colonnes et leurs chapiteaux reçoivent l’essentiel de l’ornementation sculptée romane, qui déroule son iconographie sous les yeux d’un moine en méditation.

Le cloître cistercien (XIIIe siècle) de l’abbaye de Fontenay

A partir du XIIe siècle, la généralisation du voûtement en pierre des cloîtres romans impose, particulièrement chez les cisterciens, un type de galerie caractéristique. Le cloître cistercien (XIIIe siècle) de l’abbaye de Fontenay, en Côte-dOr, en est l’illustration parfaite. Les arcades sont basses, regroupées par deux ou trois et surmontées d’un arc de décharge, parfois percé d’un oculus pour mieux répandre la lumière à l’intérieur de la galerie.

Les colonnes jumelées alternent avec les piles fortes qui soutiennent la voûte et divisent la galerie en travées, à limage d’une nef d’église. L’absence de toute ornementation est typique de l’ordre cistercien.

Palais des Papes

Situé au nord de l’actuelle cour d’honneur, le cloître du Palais Vieux (XIVe siècle), installé au sein du palais des Papes en Avignon, présente le dessin et la sobriété d’un cloître cistercien. A la suite de Benoît XII, Clément VI (1334-1342), ancien abbé de l’ordre de Cîteaux, commence la construction du palais des Papes
Les arcades des galeries sont, à l’époque gothique, de plus en plus traitées comme des fenêtres, parfois vitrées. Le cloître gothique (XIIe-fin XIIIe siècle) de l’abbaye de la Chaise-Dieu, en Haute-Loire, occupe aussi le centre du monastère. Lieu de convergence, l’édifice profite des innovations de l’architecture religieuse expérimentées dans les églises.
Au XIVe et XVe siècles, on a reconstruit plusieurs cloîtres. Ils sont voûtés et les arcades sont de véritables fenêtres, comme à Saint-Wandrille (Seine-Maritime) et la Chaise-Dieu (Haute-Loire). Le midi fait cependant exception, sans doute par le poids de l’héritage roman plus lourd quailleurs : le cloître du  » monastir del camps  » (Pyrénées-Orientales) terminé en 1307 n’est pas voûté et son arcature est légère.
Au XVIIIe siècle, les plans des monastères sont modifiés, entraînant quelquefois la disparition du cloître.

Le bluff au poker

pokerLe bluff, souvent assimilé au poker, est une stratégie de jeu qui consiste à induire en erreur son ou ses adversaire(s) sur le jeu que l’on possède. L’expression vient de l’anglais to bluff, « tromper » mais il s’agit aussi de devancer ses adversaires en comprenant leur psychologie et en ayant une bonne analyse du jeu qui se déroule afin d’user de la meilleure stratégie de bluff possible.

Quelques règles de bases du bluff

Au poker il faut savoir bien utiliser le bluff et surtout bien le doser. Un bon bluff doit être anticipé et donc pensé en début de partie. Bluffer en désespoir de cause ne donnera pas de résultat concluant, en abuser fera perdre toute crédibilité au joueur et donc toute chance d’arriver à ses fins. Il s’agit d’intimider ses adversaires afin qu’ils se couchent (« fold ») et que le bluffeur remporte la mise. C’est aussi un moyen de ne pas dévoiler son jeu tout en collectant des informations sur celui des autres joueurs, cruciales pour maîtriser le jeu et les coups à venir.
Deux tactiques s’offrent au joueur ; sur-jouer sa main pour faire croire qu’il a la meilleure et faire coucher ses adversaires le plus vite possible, ou sous-jouer sa main, ce qu’on appelle le « slow-play », qui consiste à suivre les adversaires alors qu’il a la meilleure main. Cette deuxième technique permet de faire grossir le pot et de piéger tout le monde à la fin.
Ces tactiques sont à utiliser à bon escient et avec parcimonie au risque de les rendre inefficaces et d’être démasqué à la seconde.
Autre élément important dans une partie, c’est la position du joueur qui joue un rôle décisif pour le bluff. Il est connu des joueurs de poker qu’il est confortable d’être en fin de parole puisque les adversaires ont pu délivrer nombre d’informations qui serviront à les faire se coucher ou relancer.

La dimension psychologique du bluff

Nous l’avons vu plus tôt, la maîtrise et la compréhension du jeu est primordiale pour réussir ses bluffs. Maîtriser ses émotions et comprendre les personnes avec qui l’on joue l’est autant pour pouvoir adapter et orienter ses choix stratégiques.
D’ailleurs si vous cherchez le meilleur code promo ladbrokes pour jouer en ligne, c’est par ici.
Pour réussir son bluff il faut une maîtrise de soi afin de gérer les signaux qui peuvent nous échapper (appelés « tells »). Il est facile de repérer les émotions qui trahissent un adversaire mais il est difficile de masquer les siennes. Ces signaux peuvent se traduire par un tremblement de la main, un tic nerveux ou un regard fuyant. Une attitude peut changer inconsciemment mais elle suffit à trahir un joueur.
Il faut alors falsifier son langage corporel, plusieurs techniques sont possibles. L’une des plus connues est la « poker face » ou une façon de rester impassible. Le joueur peut choisir aussi de rester naturel ou de se cacher à l’aide d’accessoires tels qu’une paire de lunette ou un sweat à capuche.

En conclusion de ces indications tactiques, sachez que la meilleure règle pour bluffer au poker est de s’affranchir de toutes règles !

Astuces pour une coupe de cheveux pas cher

coiffureMême en temps de crise, les cheveux poussent  Ce qui veut dire qu’une petite coupe de temps en temps s’impose. Sauf, bien sûr, si vous êtes adepte du style Robinson Pour autant, le coiffeur est souvent une dépense non négligeable (surtout pour vous Mesdames). Une coupe de cheveux ça coûte cher!

1. Se faire coiffer dans une école de coiffure et d’esthétique

L’avantage est bien évidemment le prix. Généralement coupe de cheveux et brushings se négocient à quelques dizaines d’euros. Pas mal

Vous pouvez aussi, Mesdames, avoir recours à toutes les techniques de colorations, flashs, mèches et autres fantaisies, que beaucoup d’entre vous affectionnez.

Les élèves sont, bien sûr, assisté(e)s de leurs professeurs qui conseillent, corrigent et secondent les apprentis. Ils ou elles vous mettront en valeur grâce aux nouveautés apprises en cours et lors des stages, tout en prenant en compte la forme de votre visage et votre personnalité.

Si vous souhaitez tenter l’expérience il vous suffit de prendre rendez-vous dans l’une des écoles de coiffure, près de chez vous.

2. S’inscrire sur Croupon et autres sites de vente privée

Pour augmenter leurs chiffres d’affaires et le nombre de clients potentiels, certains salons de coiffure proposent des offres très attractives sur des sites comme Croupon, avec des réductions intéressantes.

Le principe est simple 

  • Vous recevez les offres par mail en fonction de notre ville de résidence.
  • Vous choisissez celle qui vous intéresse
  • Vous payez en ligne
  • Vous imprimez votre billet de réservation
  • Direction le salon de coiffure sélectionné.

Hors suppléments demandés de votre part, vous n’avez plus rien à régler sur place.

3. Carte de fidélité

Certains coiffeurs proposent à leurs clients des cartes de fidélité avec des réductions associées. Vous connaissez le principe: une coupe gratuite ou quelques euros en moins au bout de quelques tampons. Toujours bon à prendre

Ma solution Coupe de cheveux rapide

Ces 3 bonnes astuces permettront, j’en suis sûr, de rafraîchir votre coupe sans assassiner votre porte-monnaie. Mais je pense, pour ma part, que la meilleure solution reste la tondeuse que je pratique depuis 12 ans maintenant.

Imaginez les économies!

Où (bien) manger à New York pour pas cher ?

restaurant new yorkBien que New York soit l’une des villes les plus chères du monde, il est toujours possible d’y manger bien sans se ruiner. Encore faut-il savoir où chercher ! Partons à la découverte des meilleurs restaurants pas chers de Big Apple avec http://www.pays-de-matignon.net/ !

#1 Joe’s Pizza

Une tranche (ou une « slice » comme disent les New Yorkais) de Joe’s Pizza est vraiment l’une des choses les plus satisfaisantes et les plus délicieuses que l’on puisse manger à New York. Grub Street a qualifié Joe’s, une institution à New York, de « meilleure tranche de pizza de New York ». Fort de ce succès, Joe’s Pizza s’est étendu à divers endroits de la ville, mais les puristes aiment toujours se rendre à la boutique originelle, située du côté de Greenwich Village.

#2 B and H Dairy

Les charcuteries casher sont en voie de disparition à New York, mais une institution tiens toujours : le B and H Dairy. Depuis sa création en 1940, l’enseigne a réussi à devenir un incontournable pour les New Yorkais. C’est le genre d’endroit où vous pouvez manger seul au comptoir, commander des pierogis ou un sandwich et discuter avec les cuisiniers.

#3 Baohaus

Les petits pains cuits à la vapeur sont devenus très populaires ces dernières années, et l’ouverture du Baohaus y est peut-être pour quelque chose. Ouvert en 2009 par Eddie Huang et son frère, le Baohaus a montré à New York à quel point ces snacks taïwanais pouvaient être étonnamment délicieux. Les petits pains (appelés baos) coûtent tous moins de 5 dollars et sont incroyablement bons !

#4 Crif Dogs

Depuis l’ouverture de son deuxième site à Williamsburg, les hot-dogs de Crif Dogs sont plus accessibles que jamais. Connu pour ses créations audacieuses, Crif Dogs garnit ses hot-dogs faits à la main de tout ce que vous pouvez imaginer : de la crème fraîche au beurre d’arachide en passant par les épices qui agrémentent les bagels.

#5 Tasty Hand-Pulled Noodles

Le quartier chinois est un paradis pour les amateurs de nourriture bon marché. Vous serez surpris par les prix : 1 dollar pour une assiette de huit boulettes « dumpling », qui dit mieux ? Mais comme la qualité n’est pas la même partout, vous devez savoir où aller dans le quartier. L’une des meilleures options est Tasty Hand-Pulled Noodles qui sert, comme son nom l’indique, des nouilles tirées à la main.

#6 Los Tacos No. 1

Bien enfoui au Chelsea Market, Los Tacos No. 1 sert (probablement, et de l’avis de nombreux New Yorkais) les meilleurs tacos de New York. Étant donné que le marché s’adresse à une clientèle haut de gamme dans un quartier chic, on apprécie encore plus ces délicatesses mexicaines pas chères servies par l’enseigne. Tous les tacos de Los Tacos No. 1 coûtent moins de 5 dollars, mais comme nous le savons tous, difficile de s’en tenir à un seul ! Les gros appétits peuvent opter pour une quesadilla.

#7 Mamoun’s Falafel

Ayant ouvert ses portes en 1971 à Greenwich Village, Mamoun’s Falafel possède aujourd’hui de nombreux sites dans tout New York qui servent les meilleurs falafels de la ville. Le falafel, un plat moyen-oriental simple concocté à base de pois chiches moulus, est la star du show de l’enseigne, mais pas sa seule spécialité. Outre le célèbre falafel, le restaurant propose également de savoureux shawarmas et une sélection de brochettes de poulet, de shish et de kofta.

#8 Punjabi Grocery and Deli

Punjabi Grocery & Deli est peut-être l’endroit à New York où vous pouvez manger le plus de nourriture au prix le plus compétitif. Cette épicerie indienne, située dans l’East Village, est depuis longtemps la préférée des chauffeurs de taxi et de tous ceux qui recherchent des repas bon marché à toute heure de la journée (elle est ouverte 24 heures sur 24, 7 jours sur 7), et la plupart des articles coûtent entre 1 et 3 dollars. Il n’y a nulle part où s’asseoir, donc une fois que vous aurez choisi vos plats sur le comptoir, vous mangerez probablement debout, sur le pouce.